lundi 30 mars 2009

PRIX DE L'HUMOUR ET DU CONTRÔLE DE SOI

(Merci de nous avoir envoyé ce joli fait divers, chère Anne Onime, si tu en as d'autres, nous sommes preneurs!)

Un prix pourrait être attribué à cette guichetière d'un bureau de poste parisien pour son élégance, son humour et son self-contrôle !
Cette guichetière se trouvait face à une longue file de clients mécontents, lassés d'attendre pour pouvoir enfin déposer un chèque, retirer un chéquier ou envoyer du courrier.
C'est alors qu'un client excédé, se taillant un chemin jusqu'au guichet, jette son bordereau sur le comptoir et dit :

- JE DOIS encaisser ce chèque TOUT DE SUITE !

- Je suis désolée, Monsieur. Je serai heureuse de vous aider tout à l'heure; je dois d'abord m'occuper des autres clients, mais soyez sûr que votre tour viendra.

Le client ne s'en laisse pas conter. Il crie très fort de manière à ce que tout le monde l'entende :


- EST-CE QUE VOUS SAVEZ QUI JE SUIS ?


Alors sans aucune hésitation, la préposée se lève et s'adresse à tous les clients présents:
- Puis-je avoir votre attention s'il vous plaît ? Nous avons au guichet un client qui NE SAIT PLUS QUI IL EST. Si vous êtes en mesure d'aider cette personne à trouver son identité, nous vous prions de bien vouloir l'en informer, merci.
Alors que toute la file d'attente éclate de rire, le client furibard s'exclame:

-Je T'ENCULE, salope***!

Sans broncher, la guichetière sourit et dit:

-Je suis désolée, Monsieur, mais pour cela aussi il faudra être capable de faire la queue !

jeudi 26 mars 2009

DROIT OU PAS DROIT AU BONHEUR?

DROIT OU PAS DROIT AU BONHEUR ?

A la suite de l'échange de commentaires entre Dominique et Mathieu, j'ai suivi le fil tendu par Dominique, et j'ai découvert la philosophe Jeanne Hersch, dont l'analyse très pertinente des droits de l'homme vaut la peine d'être lue. Cela m'a donné envie de rebondir sur la question.

Pour ma part, je considère que les droits, le Droit, les lois en général, sont une nécessité absolue tant que la conscience humaine demeure au stade juvénile qui caractérise la presque totalité de l'espèce humaine pour le moment.
Nous sommes aveugles à la réalité universelle telle qu'elle est, nous la voyons telle qu'elle parait être, et c'est là la cause fondamentale de tous les abus, injustices, inégalités, manque de fraternité et incapacité d'assumer une liberté à laquelle nous sommes nous-mêmes le seul obstacle.

Cette méconnaissance constitue la racine même de la souffrance, entrainant dans son sillage l'attraction et la répulsion, l'espoir et la crainte, ce melting-pot dans lequel nous tournons en rond depuis la nuit des temps sans trouver la satisfaction espérée.
Il n'y a pas d'issue à un cercle sauf à le rompre. C'est en cela que réside le travail spirituel.
Telle est la philosophie bouddhiste et c'est aussi la mienne. Il s'agit d'une vision du monde qui me parait réaliste car elle tient compte du potentiel humain, voilà pourquoi elle est pleine d'espoir et ne me semble pas s'apparenter à un optimisme béat.

Dans cette perspective, le droit au bonheur est réel, mais par notre méprise collective, nous sommes là encore le seul obstacle à sa réalisation. L'obtenir demeure toujours possible à tout être qui, en s'attelant à la recherche du vrai mode d'existence des phénomènes et de la personne, sort du rêve des apparences pour s'éveiller à la réalité telle qu'elle est. La crainte est alors abolie parce qu'il devient évident qu'il n'y a rien à craindre, et l'espoir n'a plus de raison d'être lorsqu'on connait la complétude et que rien ne manque.

Voilà pourquoi vous avez raison tous les deux, Dominique et Mathieu dans vos commentaires respectifs, car dans le christianisme le bonheur se mérite mais il reste une promesse, un bon (sans heure) à toucher dans un futur hypothétique dans "un monde meilleur", à condition d'avoir vécu comme une personne vertueuse (hélas, combien d'entre nous toucherons le pompon?)
Alors que dans la philosophie bouddhiste, peut-être aussi dans le soufisme (Quel ou quelle amie Anne Onyme voudra bien nous éclairer sur cette tradition ?) le bonheur se mérite par l'investigation, l'analyse, la méditation, outils qui offrent la possibilité de l'expérimenter dans cette vie, comme tant d'éveillés célèbres, tel le Bouddha et bien d'autres à sa suite, l'ont réalisé.
Les dernières avancées de la science dans le domaine quantique représentent un pas en avant vers la levée du voile qui obstrue notre vue du réel et un grand espoir pour l'humanité.
Qui nous éclairera sur l'univers des quanta? Ceci est un appel à témoin scientifique!
Affaire à suivre.

mercredi 25 mars 2009

MAIS POURQUOI DIABLE FAIRE UN BLOG?



Ma motivation en créant ce blog est multiple. La première facette est le fait qu'Internet me donne la possibilité d'offrir à mes amis ainsi qu'à un large cercle d'amis d'amis, un espace vide que nous pouvons meubler comme il nous plait. Chacun peut apporter à l'océan planétaire du réseau, son grain de sel — je veux parler de ce dont nous sommes tous pourvus: une conscience, des expériences, du bon sens, un brin de folie, un grain de sagesse nuancé d'humour et une bonne dose d'ignorance.

Le thème de la recherche du bonheur m'est tout de suite venu à l'esprit parce qu'il nous concerne tous, il est notre préoccupation majeure au même titre que son corolaire, le désir d'échapper à la souffrance. Pas une pensée, pas un mot, pas un geste qui ne soit sous tendu, consciemment ou non, par la recherche du bonheur et l'aversion pour la souffrance.
Je vous ai donc proposé dans mon premier communiqué, ces paroles du Dalai Lama extraites d'une conférence publique où il parle du droit au bonheur, un droit qui est, dit-il, celui de tout être humain, simplement parce que c'est dans notre nature que d'aspirer à être heureux et à ne pas souffrir.

Qui d'entre nous n'a pas d'expérience en la matière?
En faire bénéficier les autres, est une façon de libérer sa mémoire —à moindre frais!— de vieux et lourds paquets que l'on continue de porter alors qu'on est dans le train. Comment danser avec la vie quand on est si lourdement lesté? Cette surcharge de mémoire ne nous crée que des angoisses, des limites, des points de contractures et des démangeaisons. Elle nous envoie des alarmes qui nous font reculer devant les opportunités offertes par la Vie ("Attention! Tu sais où ça mène d'ouvrir sa porte... son cœur... sa bouche... son frigo...). Avec une majuscule, la Vie, s'il vous plait! Car à mes yeux, rien ne saurait mieux représenter le concept de Dieu que la formidable énergie créatrice et toute puissante de la Vie. Elle qui n'est que jeu et amour de la Vie, illimitée dans le temps comme dans l'espace. Telle est ma croyance et je serais heureuse que vous me fassiez partager la votre.

S'efforcer de rédiger son expérience, se dévoiler si peu que ce soit est un acte de générosité dont on est immédiatement payé de retour. Car on est amené à prendre du recul, à relativiser ce qui nous a apporté du plaisir ou de la souffrance. Le regard distancié que l'on porte sur soi nous rend plus caustique, l'humour se pointe, facilite l'aveu et l'on se surprend en écrivant, à rire de ce qui nous avait fait pleurer! Finalement, tout ça n'est pas si grave, se dit-on, puisque tout passe, et celui qui lit le message n'a pas envie de se moquer. On sait tous ce que souffrir veut dire et l'on est reconnaissant d'avoir été jugé digne de recevoir ces confidences.

On peut s'étonner de voir ce que nous avons tous en commun dans les causes et les conditions qui engendrent le plaisir et la souffrance, car nous jouissons ou souffrons somme toute, pour des raisons très similaires. Ne pas avoir ce que l'on désire, être affligé sans choix de ce qui suscite notre aversion: toutes les formes de deuil qu'il s'agisse de biens matériels, de position sociale, de réputation, d'êtres chers qui nous quittent ou qui meurent, telles sont, en gros, les causes élémentaires de nos souffrances, sachant qu'il en existe de plus subtiles.

Certes, rien de tout cela ne nous est propre, mais notre façon d'accueillir les joies et les peines diffère selon que nous sommes plus ou moins matérialistes ou spirituellement évolués; notre héritage familial psychophysique, culturel, ethnique, religieux, notre dressage dans l'enfance, notre apprentissage scolaire etc. jouent également un rôle primordial dans la façon dont nous prenons les évènements et menons notre barque d'une rive à l'autre de l'océan du monde phénoménal.

La communication de l'expérience de chacun présente encore un avantage pour tous, et pas des moindres: elle nous fait prendre conscience — parce que c'est plus facile de le déceler chez l'autre que chez soi— des signes d'harmonie ou de disharmonie qui sont en nous comme chez autrui, et constituent nos points forts ou nos points faibles. Quand ceux-ci sont mis en lumière, on voit clairement que l'on est libre de renforcer les premiers et de se guérir des seconds. Libre d'adopter certaines attitudes et d'en refuser d'autres, de choisir entre porter un regard courageux sur soi-même ou se cacher la tête dans le sable. Libre de partager son expérience, sa réflexion, ou de rester à couvert etc.

Voilà pour la LIBERTÉ, le premier des trois termes, devise de notre République et également la mienne.

En outre, et c'est un point particulièrement important, par la sincérité de celui qui nous confie son expérience, on réalise qu'on ne peut pas se faire juge des faiblesses d'autrui sans se juger soi-même et du même coup condamner deux innocents. Nous avons tous droit à l'erreur, et au pardon, nous ne sommes pas des Bouddhas, du moins pas encore, car... bonne nouvelle! (tout le monde descend) nous avons tous le potentiel de devenir Bouddha, Gandhi, Mahatma et cetera... Mais là n'est pas le sujet, on en reparlera.

Donc le dernier avantage que nous offre ton message, cher fidèle abonné, comme le message de celui qui te répond, est de nous délivrer de l'auto jugement, de l'auto punition et de la culpabilité, cette invention judéo-chrétienne qui nous voue aux enfers dés qu'on parle de préservatifs! Saviez-vous qu'il existe au moins une langue dans laquelle ce mot, culpabilité, n'existe pas? Je vous entend soupirer "Dans quel pays? J'y vais tout de suite!"

Et voilà pour l'ÉGALITÉ!
Car nous sommes tous responsables de ce que nous introduisons et maintenons dans notre courant de conscience, tous non-coupables de notre conditionnement et de notre ignorance de la réalité voilée sous les apparences, et nous sommes tous, également, des Éveillés potentiels.

Par le point de convergence de ce blog et la communication qui s'établit entre nous tous, nous touchons à ce que notre République nomme FRATERNITÉ, les syndicats,solidarité et la spiritualité, amour et compassion.

Dernier point de ma motivation, —pardon d'abuser de votre attention, en espérant que je n'ai pas plongé mes lecteurs dans un sommeil profond!— notre activité sur ce blog, motivée par ces trois principes, devrait avoir valeur d'exemple, notre but avoué étant de contaminer le réseau planétaire —ne nous limitons pas— par notre non violence, notre respect et notre amour des droits et des libertés de chacun, de la Terre et de tout ce qui vit sur elle, humains, bêtes et plantes, et des autres éléments dont la pollution rendrait la vie impossible sur notre merveilleuse Planète Bleue.

POURQUOI CE NOM: RECHERCHE DANS LE VIDE?

C'est ce que je vous révèlerai dans ma prochaine communication. Si vous êtes arrivés jusqu'à la fin, merci de votre persévérance, je tombe de sommeil, je vous salue, la parole est à vous.

samedi 21 mars 2009

JUSQU'À LA VICTOIRE!


Free Blog Counter






Merci à vous tous, amies et amis,qui m'avez écrit en réponse à mon avis de Naissance du blog Recherche dans le Vide.

Merci à toi MÉLINA de ton commentaire et de tes encouragements.
Depuis une semaine tout juste que j'ai entrepris de créer ce blog, je vais de découverte en découverte car j'apprends en faisant... mise en page, couleurs, polices, spams, règles et mille autres choses! Pour une internaute débutante comme je le suis, ça prend du temps. J'en rêve même la nuit. Heureusement que MJV m'apporte ses compétences! Les briefings entre le Mas et New Delhi vont bon train.
Et toi Mélina? Tu cherches ta voie, la vraie dis-tu, et tout ce que tu dis révèle que tu sais déjà. Ce qu'on t'a appris n'a fait que jeter un voile sur ce que ta nature connais sans mots de toute éternité.
Lorsque tu fais silence, ne serait-ce qu'un seul instant,la vérité se dévoile par petits pans -dans le mille!- et tu vois que tu sais déjà..
La danse que tu aimes tant! La danse des 7 voiles un à un retirés...et ce qui reste quand tu t'es totalement dénudée c'est ce que tu cherches depuis toujours. Comme "l'aveugle ☛ dans une chambre noire cherche un chapeau noir qui n'a jamais été là ☚" .
C'est ainsi qu'on court après le bonheur✈ ✈ sans jamais le trouver, parce qu'on n'a pas besoin d'yeux pour le voir et qu'il n'est pas là ☀ ☁ où on le cherche.
En fait, la recherche est la voie. Le voyage et le but se confondent, on n'a besoin sur cette route que de persévérer, d'être sincère, intrépide, de ne pas céder au doute corrosif. Notre bouclier de lumière, la force qui nous porte en avant, nous fait progresser vers ce qui nous appelle, c'est la confiance. Ce que l'on cherche est déjà là. Au bout du chemin il y a ce qui est, quoique ce soit, et c'est indéfectible.
Tu sais aussi les risques et les cadeaux qui récompensent le chercheur impénitent, "cette partie de toi en quête de toi"...
Tant d'intuition ne peut que te mener à la réalisation finale.Ma tendresse éternelle t'accompagne, Mélina, JUSQU'À LA VICTOIRE!!!
Lise



JUSQU'À LA VICTOIRE!

dimanche 15 mars 2009

VOULEZ-VOUS JOUER AVEC MOI?

DÉCRIVEZ-VOUS EN QUELQUES LIGNES
...c'est ce à quoi j'ai dû me plier ce matin pour pouvoir m'inscrire sur Flickr. Non que je sois un foudre de guerre dans l'art du "shot" de photos, tant s'en fauto! Mais je voulais pouvoir commenter celles que je rencontre chez les surdoués fauteurs de "pics" comme ils disent et que je trouve intéressantes; en particulier celles du premier abonné à notre blog dont la galerie vaut plus qu'un coup d'oeil:
Flickr Galerie de Mathieu JV
et la photo qu'il m'a fait découvrir ce matin, suivez le lien:
http://www.flickr.com/photos/noecarrillo/3332622462/ il s'agit d'un chat en gloire, mais oui! avec une aura autour de la queue, une icône quoi, c'est rare ça!
Bref, ça m'a pris la tête et la matinée pour répondre aux questions les plus indiscrètes (mais...Google oblige!) et rédiger mon portrait sous toutes ses coutures, alors je vous le livre à peu près tel quel et je propose à chacun de vous, amis, de faire de même afin que chacun des participants à ce blog se présente à tous les autres. Je veux parler des milliers de petits chanceux qui vont pouvoir s'abonner (sinon on ferme et je remets ma chanson dans mon clavier-piano) et parler de leur expérience du bonheur; la souffrance incontournable fait partie intégrante du thème sinon, comment découvrirons-nous s'il est possible d'en venir à bout, et de quelle façon? Chacun a son idée sur la question, quant à moi, je vous ferai part de mes propres expérience et de mes découvertes "himalayennes".
J'ai donc sué sang et eau, sucé ma souris et tiré la langue pour m'extravertir (OK j'ajoute ce mot au dictionnaire comme mon Mac me le suggère) sans trop me dévêtir.

Décrivez-vous en quelques lignes:

Typique représentante du fringant Sagittaire, j'aime:
— communiquer, c'est clair!
— écrire de la musique et des textes de chansons, j'en ai enregistré sous les labels BAM et CBS, (voir Lise Medini sur youtube et s'abonner chez l'ami Dominique qui nous régale de ses trouvailles —comme l'irremplaçable Jacques Douai— pêchées dans les sixties: http://www.youtube.com/DominiqueHMG ) et j'en ai d'inédites dans mes tiroirs — mais que l'on ne me demande pas de chanter à la fin du repas sinon je raconte l'histoire de ce chrétien qu'un lion affamé refusa de toucher après qu'il lui eût murmuré quelques mots à l'oreille: "Je te laisse la vie sauve, lui dit l'empereur, si tu me confie ta formule magique" "J'ai dit au lion "mange-moi si tu veux, mais je te préviens, ils te demanderont de chanter à la fin du repas."
En revanche, si l'envie me prend de chanter, nul ne peut m'en empêcher.
J'aime par dessus tout partager le meilleur de la vie: mon jardin en toute saison, les oiseaux qui le peuplent, les bons petits plats que j'aime à mitonner, le champagne que l'on m'offre, les trésors que j'ai reçus dans l'Himalaya lors de mes rencontres avec des êtres lumineux tels que le Dalai Lama, Lama Thubten Yéshé, Lama Zopa Rinpoché et tant d'autres sages.

LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ représentent parfaitement mes valeurs spirituelles, politiques et morales.

Ma devise: À chaque instant suffit sa joie, et si la peine se présente accueille-la.

Mes souhaits pour tous: PORTEZ-VOUS BIEN C'EST CONTAGIEUX.

Les qualités que je privilégie:
- non violence, non discrimination raciale, sexiste, religieuse, flexibilité, courtoisie, amour et respect des enfants et des animaux en particulier, des êtres vivants en général, de notre Terre Mère, de notre environnement et des Grands Éléments sans lesquels la VIE que nous aimons tous s'éteindraient sur la Planète Bleue.

L'épitaphe que je souhaite voir —façon de parler— figurer sur mon urne:
"NÉE D'UNE LARME MORTE DE RIRE".
La musique pour accompagner mon départ en fumée:
Le Requiem de Gabriel Fauré, Liberame Domine.


À vous de jouer!

Le droit au bonheur

TENZIN GYATSO XIVème DALAI LAMA Prix Nobel de la paix
Cent éléphants sur un brin d'herbe Traduction Lise Medini (édition Le Seuil)

..."L'autre ne va pas sans "moi", et selon le point de vue conventionnel, ce moi est indéniable. Nous en avons une authentique sensation, ancrée au plus profond de nous, qui se traduit par:"Je veux ceci", "Je ne veux pas cela". Ce sentiment d'être soi se manifeste très naturellement à nous et s'accompagne tout aussi spontanément d'un désir de bonheur et d'une répulsion pour la souffrance; ce qui est non seulement naturel mais juste. Nous désirons être heureux, nous ne voulons pas souffrir: c'est parfaitement légitime. Nous n'avons même pas à nous en justifier.
À ce titre, nous avons droit au bonheur et à ne pas souffrir."

samedi 14 mars 2009

Lord Bowen (1835-1894) définissait un métaphysicien de la manière suivante: "A blind man in a dark room - looking for a black hat - which isn't there." soit "Un aveugle, dans une pièce obscure, cherchant un chapeau noir qui ne s'y trouve pas."

Une citation qui démarre ce blog d'un bon pied.