samedi 14 mars 2009

Lord Bowen (1835-1894) définissait un métaphysicien de la manière suivante: "A blind man in a dark room - looking for a black hat - which isn't there." soit "Un aveugle, dans une pièce obscure, cherchant un chapeau noir qui ne s'y trouve pas."

Une citation qui démarre ce blog d'un bon pied.

10 commentaires:

  1. Super citation, j'adore (et pour cause :))

    Bravo pour ton nouveau blog ! J'attends les prochaines entrées avec impatience.

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  2. Bonjour ma Lise !

    Chantez, chantez, chantez-vous ? Dansez, dansez, dansez-vous ... Jouez, jouez, jouez donc ... à rire la vie qui est si courte...

    Je viens porté mon regard sur ton oeuvre... et t'encourage à poursuivre avec d'autres vidéos de l'Inde et d'ailleurs. Tes experiences..., Oui tes experiences de tous ces voyages ... Comment ct ta première rencontre avec le Dalai Lama ? Contes nous des histoires ... puisque nous ne pouvons nous voir pour l'instant ?! Peut etre que virtuellement je me sentirais proche de ton enseignement !

    Je cherche ma voie en ce moment ... la vraie !
    je veux parler de celle que je n'ai ecouté qu'a moitié depuis que je suis née... Celle que l'on m'a appris à oublier quand j'etais à l'école ...
    Bref, mes envies, mes rêves, qui je suis réelement, intrinséquement ... Quete interessante n'est ce pas ?
    Qui implique de grands risques, des changements radicaux, une intégrité joyeuse et connecté à mon moi profond ...
    Voilà un peu qui je suis ces temps ci, une partie de moi qui cherche moi ! hi,hi

    Sur ces belles paroles de coeur je te fais ma Lise des bises eternelles !

    Mélina !

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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  4. Promis! Mélina je raconterai ma première rencontre avec le Dalai Lama, mais il faut que je dorme un peu d'abord...J'ai répondu à ton commentaire dans le dernier message publié il y a un instant: Jusqu'à la victoire!

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  5. Bonjour,

    Il me semble vous avoir entendu chanter au Cheval d'Or

    Avec mes amitiés

    Gilles Tcherniak

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  6. Salut Gilles,
    en effet j'ai débuté comme auteur compositeur interprète sur la scène du Cheval d'Or, où Monsieur Léon m'a mis le pied à l'étrier après m'avoir auditionnée.
    Je n'oublierai jamais le jour de cette audition, j'étais morte de trac! J'avais Léon pour tout public, posté au fond de la salle, prés de l'entrée, à demi caché derrière un mince pilier. Il ne disait mot, me regardait à peine, bref,c'était très intimidant. Je me demande aujourd'hui s'il n'avait pas un trac au moins égal au mien? Peut-être le sais-tu mieux que moi, car il me semble qu'il t'était très proche? Bref, ce fut une dure épreuve dont je sortis en nage mais engagée pour 15 jours à l'essaie, qui devinrent un mois; puis les engagements se renouvelèrent régulièrement.
    Le Cheval d'Or devint un de mes lieux favoris de travail, avec la Colombe, chez Moineau, et plus tard l'Écluse et la Méthode, où j'ai eu la chance d'apprendre le métier de la scène.
    C'était un café théâtre très particulier, le Cheval d'Or, un des hauts lieux de la Contrescarpe, qui attirait un public choisi de découvreurs, intéressés par la nouveauté et des artistes originaux que les media n'avaient pas encore confirmés. J'en garde un excellent souvenir .
    J'étais heureuse et fière de figurer parmi les plus beaux fleurons de la rive gauche des années 60, dont beaucoup sont devenus par la suite des vedettes confirmées, tandis que je désertais les planches pour arpenter l'Asie et l'Himalaya.
    À toi, Gilles d'évoquer ce légendaire Cheval d'Or sur lequel tu as publié un livre, si je ne me trompe pas, veux-tu nous en parler?
    Par quelle heureuse coïncidence es-tu arrivé à RDV? Nous sommes friands sur ce blog d'histoires de coïncidences et de synchronicité.
    À tout à l'heure.
    Très amicalement
    LM

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    1. Bonjour si je me permet d'intervenir dans cet échange c'est que je suis le fille de Petit bobo qui s'est également produit dans ce cabaret. Je prépare aujourd'hui un film documentaire sur le Cheval d'or et souhaiterai m'entretenir avec vous de vos débuts en ce lieu . Aussi si vous aviez la gentillesse de me contacter sur mon adresse mail perso : maguelonne.couzinie@free.fr. J'en serai très heureuse . Cordialement .
      Maguelonne

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  7. Je réalise que j'ai, par inadvertance, omis de saluer au passage l'un de mes terrains de jeu et de concerts favoris des années 60/70, celui dont la scène m'a permis d'acquérir du "métier", l'inoubliable café théâtre de la Vieille Grille, où Maurice Alezra, le Patron, officiait avec sa casquette, son charme, son humour et une tranquille bonne humeur, tel le Grand prêtre de la Rive Gauche, avec toujours en main un verre de bon vin à offrir.
    Il offrait aussi aux artistes ses planches pour y faire des "boeufs" qui furent des moments de pur bonheur. Merci à toi, Maurice, à toi Léon, à Moineau, à Michel Valette et à quelques autres de mes amis et "patrons nourriciers" de m'avoir offert un tremplin pour sauter dans le VIDE où je continue de trouver inspiration et créativité. Je lève mon verre à la bonne vôtre, quelque soit le monde où vous officiez, sans jamais oublier Omar Khayam, mon maître en poésie et en bonne cuvée.

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  8. Le métier de métaphysicien...ça doit être aussi évident que d'"attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas" (proverbe chinois)
    ;-)
    pensées from Pantin, 93, California

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